Demain lundi 22 novembre 2021, le Théâtre des Champs-Élysées propose une exécution de l’oratorio de Händel Theodora avec une équipe de chanteurs et de musiciens…
Concert
Adèle Charvet et l’ensemble Appassionato dirigé par Mathieu Herzog interprètent Respighi, Strauss et Beethoven au Collège des Bernardins C’est un concert dédié à la nature…
Goyescas – Raretés hispaniques en ouverture de saison à Limoges
Si la crise sanitaire a sensiblement bousculé les programmations, elle a parfois été l’opportunité de susciter d’intéressants projets sous contraintes techniques – et budgétaires. Ainsi en est-il de la production des Goyescas de Granados, qui ouvre la saison de l’Opéra de Limoges.
Il y a 300 ans mourait Antoine Watteau, à l’âge de 36 ans. À cette occasion, Le Musée des Invalides avait prévu une exposition autour…
Hippolyte et Aricie en tenue de soirée à la Philharmonie de Paris
On ne pourra reprocher à la distribution de ce soir son absence d’implication dramatique mais il nous aura cependant manqué une chose indispensable : le texte et surtout, le texte en français. Remercions donc le surtitrage d’avoir su nous guider sur les chemins des amours contrariées du courageux Hippolyte et de la sensible Aricie.
MAGICIENNE NINO MACHAIDZE ! L’ARMIDA DE ROSSINI ENIVRE LA SCENE PHOCÉENNE
Superbe exécution de la trop rare ARMIDA de Rossini à l’Opéra de Marseille, magnifiée par la magique Nino Machaidze.
De Kinderen der Zee – Résurrection des Enfants de la mer de Mortelmans à Bruxelles
La rentrée du Théâtre de la Monnaie ne cède pas à la facilité. Après la création de l’opéra de Kris Defoort, The time of our singing, l’institution bruxelloise plonge dans le largement méconnu répertoire néerlandophone, et ressuscite De kinderen der zee (Les enfants de la mer), l’unique opus lyrique de Lodewijk Mortelmans, dont la réputation se résume souvent au « prince du lied flamand ».
Dans la tranche d’âge de 23 à 30 ans, les jeunes artistes de l’Académie de l’Opéra / Voix d’automne caractérisent la nouvelle génération de professionnels de l’art lyrique et du récital. À la Grange au Lac, après l’interprétation de l’oratorio italien (Scarlatti), le concert du 24 octobre les immerge dans le paysage intimiste du Lied romantique. Cette polyvalence des genres, des styles et des langues est devenue l’atout de leur génération
Si les mélomanes connaissent la Juditha triompheans RV 644 d’Antonio Vivaldi (CD Opus 111, Naïve), oratorio vénitien de 1716, beaucoup d’auditeurs découvrent ce 23 octobre La Giuditta R. 500.9 d’Alessandro Scarlatti, antérieure à celle de Vivaldi. Cet oratorio italien (et non latin) a été créé à Rome en 1693, sans doute au Collège Clementine.
L’ouverture du festival Voix d’automne à la Grange au lac (Évian) est un triomphe public qui magnifie la présence de J.-S. Bach. La Passion selon Saint-Jean par Les Arts florissants révèle l’humanité de la partition avec modernité grâce à la direction de Paul Agnew, évangéliste d’une conviction saisissante.