Nous l’Europe, banquet des peuples La place d’un opéra dans la cité ne se limite pas à la défense de répertoire et des créations lyriques…
Compte rendu
À Montpellier, La Cenerentola renaitra-t-elle de ses cendres ?
À Montpellier, La Cenerentola renaitra-t-elle de ses cendres ? Un spectacle inégal, avec des bonheurs scéniques et vocaux divers mais réels, et une très belle…
La fin d’année rime généralement avec divertissements festifs et autres réjouissances associées à Noël, avec, parfois, certains embarras de circulation, à l’exemple de la Place…
Alors qu’on était un peu dubitatif face aux déclarations du metteur en scène Christophe Coppens faites en amont du spectacle, cette nouvelle production de Norma s’avère être un véritable événement à plus d’un titre, l’émotion étant in fine tout autant scénique que musicale.
Les sortilèges musicaux du Palazzo incantato de Rossi à Versailles
Leonardo García Alarcón aime à faire revivre des trésors oubliés. Ainsi en est-il de ce Palazzo incantato, premier opus lyrique de Luigi Rossi, qui fut…
La Flûte enchantée à l’Opéra national de Lorraine À l’approche des fêtes de fin d’année, l’Opéra de Nancy mise sur un titre du répertoire et…
Jauge (très) réduite, Otello aphone… et pourtant, une très belle réussite à l’Opéra de Liège ! L’Otello rossinien présenté par l’Opéra de Liège remporte un…
4.48 Psychosis à la Philharmonie de Paris – Eclatante, éclatée
A notre époque où tant de compositeurs s’essayent à l’opéra, ils ne sont paradoxalement pas si nombreux, ceux qui se montrent convaincants dans cet exercice. Raison de plus pour saluer comme il se doit le Britannique Philip Venables (né en 1979), dont la création parisienne de 4.48 Psychosis vient confirmer l’incontestable talent pour le genre.
Cristian Măcelaru dirige l’Orchestre National de France et le Chœur de Radio France dans un superbe concert pour l’anniversaire de la mort de Camille Saint-Saëns…
IL CORSARO ACCOSTE ENFIN SUR LES RIVES MONEGASQUES !
Poursuivant sa re-exploration d’un répertoire que le maître de Busseto considérait lui-même, dans une lettre à son amie la comtesse Maffei, comme ses « seize ans de galère », Jean-Louis Grinda a eu l’excellente idée à Monaco de redonner sa chance au Corsaire.