À l’Opéra-Comédie de Montpellier, Journal d’un disparu-Tagebuch est une production scénique d’une rare poésie. L’œuvre hybride associe le cycle de mélodies du compositeur tchèque Leoš Janáček à 5 pièces additionnelles de la compositrice flamande Annelies van Parys. Un spectacle qui tourne depuis 2017 en Europe.
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Malheureux en amour, malheureux en politique : le roi Macbeth est nu sur la scène de l’Auditorium de Dijon
Pour l’ouverture de sa saison lyrique 2021-2022, l’Opéra de Dijon dépoussière Macbeth de tout son folklore écossais et propose un thriller politique glaçant.
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SOMBRES ÉCLAIRS SUR L’OPÉRA COMIQUE…
par Pierre Brévignonpar Pierre BrévignonCréation réussie d’un « biopéra » attachant à l’Opéra-Comique !
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L’elisir d’amore à l’Opéra Bastille, seconde distribution – Pene Pati sur les pas de Pavarotti
Après un Roméo éblouissant à Bordeaux et alors que son récital prévu salle Gaveau en décembre 2020 avait dû être annulé, le ténor Pene Pati fait enfin ses débuts à l’Opéra de Paris !
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MAGICIENNE NINO MACHAIDZE ! L’ARMIDA DE ROSSINI ENIVRE LA SCENE PHOCÉENNE
par Hervé Casinipar Hervé CasiniSuperbe exécution de la trop rare ARMIDA de Rossini à l’Opéra de Marseille, magnifiée par la magique Nino Machaidze.
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De Kinderen der Zee – Résurrection des Enfants de la mer de Mortelmans à Bruxelles
La rentrée du Théâtre de la Monnaie ne cède pas à la facilité. Après la création de l’opéra de Kris Defoort, The time of our singing, l’institution bruxelloise plonge dans le largement méconnu répertoire néerlandophone, et ressuscite De kinderen der zee (Les enfants de la mer), l’unique opus lyrique de Lodewijk Mortelmans, dont la réputation se résume souvent au « prince du lied flamand ».
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Dans la tranche d’âge de 23 à 30 ans, les jeunes artistes de l’Académie de l’Opéra / Voix d’automne caractérisent la nouvelle génération de professionnels de l’art lyrique et du récital. À la Grange au Lac, après l’interprétation de l’oratorio italien (Scarlatti), le concert du 24 octobre les immerge dans le paysage intimiste du Lied romantique. Cette polyvalence des genres, des styles et des langues est devenue l’atout de leur génération
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Anna Bolena à Genève – La reine est morte, vive les reines!
par Laurent Burypar Laurent BuryDe la part d’un directeur aussi attaché à la modernité qu’Aviel Cahn, on pourrait s’étonner que Donizetti soit mis à l’honneur pour trois saisons : on se souvient par exemple qu’en son temps, Gérard Mortier avait banni le belcanto et le vérisme du Théâtre de la Monnaie, et c’est donc une heureuse surprise que la fameuse « trilogie des reines » soit à l’affiche à Genève.
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Si les mélomanes connaissent la Juditha triompheans RV 644 d’Antonio Vivaldi (CD Opus 111, Naïve), oratorio vénitien de 1716, beaucoup d’auditeurs découvrent ce 23 octobre La Giuditta R. 500.9 d’Alessandro Scarlatti, antérieure à celle de Vivaldi. Cet oratorio italien (et non latin) a été créé à Rome en 1693, sans doute au Collège Clementine.
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L’ouverture du festival Voix d’automne à la Grange au lac (Évian) est un triomphe public qui magnifie la présence de J.-S. Bach. La Passion selon Saint-Jean par Les Arts florissants révèle l’humanité de la partition avec modernité grâce à la direction de Paul Agnew, évangéliste d’une conviction saisissante.