Les artistes Florence Losseau, Anne-Lise Polchlopek : mezzo-sopranos Gregory Feldmann, Liviu Hollender : barytons Eleonora Pertz, Nicolas Royez, Nathaniel Lanasa, Juliette Journaux : barytons. Le…
CD
CD – CROISETTE, Opérette des années folles – Tapis rouge pour monter les marches !
On peut compter sur les talents ici réunis, qui font du disque « Croisette » un véritable bonheur à écouter !
Un premier album pleinement réussi pour cet ensemble talentueux et sympathique dont on guettera les prochaines apparitions !
CD – Douze Chants de Bilitis de Rita Strohl par Marianne Croux
Marianne Croux trouve ici l’occasion de mettre en valeur ses qualités de timbre et d’expression, avec une sensualité tout à fait adéquate.
Un superbe programme servi par une artiste précieuse !
CD – Mélodies d’Armande de Polignac – La Princesse qui revient de loin
Cette redécouverte constitue une bien belle contribution au répertoire de la mélodie, et il ne devrait désormais pas manquer d’artistes qui souhaiteront inscrire les œuvres d’Armande de Polignac au programme de leurs récitals !
Si certains auditeurs connaissent la musique de scène d’Aladdin de Carl Nielsen (Copenhague, 1919), qui aurait écouté l’opéra romantique Aladdin (Copenhague, 1902) du compositeur Horneman, hors des frontières danoises ? Sous la baguette de Michael Schonwandt, cet excellent enregistrement, répare une faille tant l’œuvre est d’un bout à l’autre captivante, alliant l’influence orientaliste des Mille et une nuits aux ambiances mystérieuses de l’Europe nordique.
Qu’un soprano américain enregistre ce programme fort intelligemment conçu avec un orchestre et des chœurs allemands sous la baguette d’un chef italien dit assez l’incompréhensible mépris dans lequel est tenu ce répertoire en France… Sachons leur gré de nous offrir ces pépites belcantistes franco-italiennes, servies avec talent et probité !
À l’heure où les firmes discographiques ont quasi renoncé à réaliser en studio des intégrales d’opéras, voilà un CD que nous aurions adoré aimer… Il nous faut pourtant émettre quelques réserves devant ce coffret qui, sans être indigne, ne tient pas toutes ses promesses…
C’est toujours un grand plaisir de constater l’envol d’un artiste prometteur, dont nous avions remarqué le talent à l’occasion de différents spectacles donnés ici et là dans l’hexagone : Jonathan Tetelman n’est en effet pas un inconnu pour le public français, qui a pu applaudir son beau Pinkerton à Montpellier, son Mario émouvant à Lille, et surtout son Stiffelio bouleversant dans le superbe spectacle proposé par l’Opéra du Rhin il y a tout juste un an. Ce CD, gravé pour Deutsche Grammophon, confirme la place de choix que le chanteur semble appelé à tenir dans le cercle somme toute assez fermé des ténors lyriques et lirico-spinto (même si pour le répertoire spinto, Jonathan Tetelman doit sans doute avancer encore prudemment…).