L’Opéra de Monte-Carlo célèbre Puccini à l’automne prochain. Plus encore que La bohème (avec le couple Netrebko/Eyvazov) et Tosca (Siri/Alagna), qui comptent parmi les opéras les plus applaudis sur toutes les scènes du monde, on sera attentif à la bien plus rare Rondine (avec P. Yende et C. Castronovo), hélas donnée en version de concert. Jonas Kaufmann donnera par ailleurs un récital consacré au compositeur lucquois.
Wagner sera également à l’honneur, avec le prologue du Ring mis en scène par Davide Livermore et Tristan et Isolde, mais pour le seul acte II (direction P. Jordan).
À ces événements importants viendront s’ajouter L’elisir d’amore bien connu d’Adriano Sinivia, un Don Giovanni mis en espace, La clemenza di Tito dirigée par G. Capuano et mise en scène par J. Mijnssen (avec Sala, Galoyan, Bartoli), le diptyque L’Heure espagnole / L’Enfant et les sortilèges (mise en scène J.L. Grinda) et un hommage à Sinatra par Vittorio Grigolo.
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