Avec une fidélité sans réserve au texte d’Arrigo Boito, Barrie Kosky donne à voir un Falstaff, loin du panciotto vieillissant déjà tant de fois montré sur scène, plus proche d’un épigone de Dionysos qui dialogue ici avec la comédie antique, Rabelais, Boccace et le carnavalesque du cinéma d’un Fellini !
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