Début de saison en fanfare pour la phalange parisienne, sous la baguette enthousiaste de son jeune directeur musical. On a pu entrevoir l’an dernier l’affinité de Klaus Mäkelä avec l’univers de la Vienne Fin-de-Siècle (symphonies n°5 et 9 de Mahler, symphonie n°9 de Bruckner, Concerto « à la mémoire d’un ange » de Berg, on attendait donc avec impatience d’entendre les musiciens de l’Orchestre de Paris dans l’ambitieuse Symphonie n°1 de Mahler. Le résultat n’a pas déçu.
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