On ne pourra reprocher à la distribution de ce soir son absence d’implication dramatique mais il nous aura cependant manqué une chose indispensable : le texte et surtout, le texte en français. Remercions donc le surtitrage d’avoir su nous guider sur les chemins des amours contrariées du courageux Hippolyte et de la sensible Aricie.
Simon Rattle
Compte renduProductionVu pour vous
Les festivals de l’été – Tristan und Isolde à Aix – ou l’esthétique du coïtus interruptus
par Nicolas Darbon
par Nicolas Darbon
Crédit photos : © Jean-Louis Fernandez Nina Stemme brille de mille feux au-dessus d’une mise en scène se voulant « postmoderne » Il est difficile…